BAJAWA

DIARIO PAULINA

DEL MAR A LAS MONTANAS EN 10 HORAS: BAYAWA

Empezamos mal le dia ya q nos vendieron le boleto de bus muy, pero muy caro. Pagamos 280 rupias cuando otros turistas pagaron 180 rupias. La diferencia estuvo en q nosotros lo compramos con un agente de viajes bastante encajoso y los otros turistas fueron a buscar la casa del chofer del micro y les dio un mejor precio.

Le camino fue hermoso, todo verde, con montanas q contrastaban con le color del cielo. Lo malo: le micro no fue muy comodo, la gente fumaba mucho los cigarros locales, los cuales huelen muy feo. Y ademas debido a q la carretera esta en las montanas hay muchas curvas y me maree un poco.

Cambio de ambiente y en solo 10 horas!! Cambio todo le clima, le paisaje y hasta la gente. Llegamos a Bayawa, la gente parece ser muy buena onda, al menos no nos ven como banco. Le clima estuvo bien para descansar del calor. Hace friito en las mananas y en las noches. Pero le agua para baniarse esta fria!! Un poco de sufrimiento, pero no importa!

Ya instalados en le hotel fuimos a cenar y despues de la cena me senti muy mal, sentia q me faltaba le aire, q me dolian los pulmones al momento de respirar, me empece a marear, a sentir nauseas y mi semblante cambio x completo tornandose a un color palido. Habiamos estado hablando un poco con unos turistas q venian con unos locales; se dieron cta q estaba mal y se ofrecieron a llevarme al doctor, muy amablemente.

LOS LINDOS ALREDEDORES DE BAYAWA

Rentamos una moto a un moto-taxista. Y fuimos camino a Bena, le camino fue igual, lleno de curvas, pero siempre con unos paisajes hermosos en los q predominaba un volcan muy puntiagudo y alto.

Llegamos a Bena sin saber q esperar y oh!! Sorpresa la gente fue hermosa con nosotros, al momento de iniciar nuestra caminata hacia le pueblito veiamos a la gente en las terrazas de sus casas de bambu y madera; todos nos saludaron y llamamos mucho su atencion, desde lo ninios hasta los mas viejos. Nos hicieron muchas preguntas como: nuestro nombre, pais, si estamos casados, si tenemos hijos y si somos catolicos!! La cual fue un pregunta poco usual, pero es q en teoria en esta isla la mayoria de la gente son catolicos (estuvieron x un tiempo en manos de los portugueses) y de alguna manera les gustaba escuchar q teniamos algo en comun.

En le pueblo vimos cosas muy interesantes como los decorados q ponen en las paredes de sus casas, los cuales son tallados en madera en color negro o madera natural. Se dice q la gente en este pueblo son catolicos pero al mismo tiempo practican le animismo. Esto consiste en q cada objeto tiene vida. Encontramos unos fetiches en le techo de las casas; son como espantapajaros pequenos estos representan la hombre y las casas pequenitas a la mujer. Tambien vimos q tienen un jardin comunal en donde entierran a sus muertos y es como le cementerio q conocemos pero mas rustico, eso si con su RIP y toda la cosa.

Cuando entablabamos una pequena conversasion con los pueblerinos preguntabamos tambien sus nombres y con la sorpresa de q tienen nombres latinos como Maria, Catalina, etc.

Bena es un pueblo muy bonito, tienen dos hileras de casas y al final de este hay un mirador hacia le volcan y le valle, me encanto ver la vista y escuchar a la naturaleza, es un lugar tan tranquilo!! cerca de este tenian un altar para la virgen, al igual q en las casas tenian posters de imagenes catolicas. A mi tambien me dio gusto visitarlos y ver sus imagenes y de alguna manera saber q creemos en lo mismo.

De regreso visitamos otras familias, en donde tomamos unas fotos de ninios jugando, fueron muy simpaticos! Tambien vimos a varias viejitas q mastican la nuez de areca, incluso nos ensenaron la nuez en su forma natural (y resulta q proviene de la palma es similar al lichi), como la meten a la hoja fresca y ponen un polvo blanco al q le llama lima q supongo q es le quimico q hace q la saliva sea secretada. Las senoras estaban contentas de mostrarnos.

Nos fuimos de Bena camino a otro pueblo llamado: Nage. Le pueblo no es tan interesante como en Bena, pero la gente fue buena onda. De ahi nos fuimos a ver las aguas termales con la idea de meternos, pero le agua estaba extremadamente caliente. Desde q llegamos se sintio le olor a azufre y se veia en las piedras le amarillo del mineral con tonos verdes.

Le regreso a Bayawa fue un tanto dificil por la carretera, es terraceria, hay muchas vueltas y subidas, lo cual lo hace complicado en motocicleta y siendo 2 personas. Varias veces tuve q bajarme de la moto para q JB pudiera subir.

Llegamos a Bayawa y resulta q como fue viernes santo hubo una misa especial. Lo unico q pude ver es q muchas mujeres vestian un traje negro con unos tejidos en colores vivos, pero muy discretos, en teoria es le traje tradicional de la zona. Tambien tenian una mascada en la cabeza.

CARNET DE ROUTE JB

De Labuan Bajo à Bajawa

Comme d’habitude ici, impossible d’avoir l’information pour les transports collectifs. Tout les chemins mènent aux hôtels et agences avec leurs commissions (pour un coup de fil). Nous comprenons que la seule alternative est de trouver la maison du chauffeur pour réserver. Les élections législatives ont lieu aujourd’hui. Compliquant la situation des transports. C’est trop compliqué. Nous payons les 15 dollars par personne au lieu de 10 via une agence.

Par ailleurs, nous avons trouver les gens peu sympa à Labuan Bajo. Au délit de sale gueule, beaucoup ne sont pas prêts de sortir de prison. Pourtant la vie pour beaucoup à l’air douce ici. Même les promeneurs de touristes en bateau qui gagnent trés bien leurs vies pour l’Indonésie et ont une vie pour le moins agréable font des têtes...

Le mini bus pour Bajawa plus au centre de l’île est direct et confortable. Il faut environ 10 heures. La qualité du revêtement est bonne voir trés bonne. La route est un peu étroite avec trés peu de traffic. Le gros problème: ca monte, ca descend et tourne tout le temps. Vraiment tout le temps. Beaucoup de passagers vomissent.

En Indonésie, l’immense majorité des hommes a l’air de fumer et beaucoup. Les cigarettes locales sont ‘sucrées’, avec des clous de girofles et longues à se consumer. Autre problème, il ne semble pas interdit de fumer dans les bus ici. Nous avions eu en différentes occasions des gens fumant dans les bus. Une cigarette de temps en temps. Ici, c’est cigarette sur cigarette.

Voyage usant. Les paysages sont eux magnifiques. Il y avait un seul chauffeur. Une seule pause de 30 min pour le petit déjeuner. A ce niveau la, le chauffeur entre dans la catégorie des super héros.

Nous trouvons une chambre horrible pour “cher”. Pas de changement à ce niveau. Nous commençons à nous résigner pour les logements.

Bajawa

Flores est catholique. Nous sommes le dimanche de Pacques. Sur ce que nous avons vu en matinée, rien de spécial n’a été organisé, hors la messe.

Nous louons un mobylette pour aller visiter des villages au alentour.

La route et les couleurs sont magnifique. Entre volcans, rizières et la mer. Nous appréhendons la visite de Bena. Le village le plus authentique et ... touristique.. Peu de touriste à cette époque. Finalement les habitants n’ont pas eu l’air ennuyé de voir encore des visiteurs avec leurs appareils photos. Au contraire, les gens sont super sympa et on l’air trés heureux de nous voir. Nous discutons avec plusieurs personnes. Beaucoup parlent un bon anglais.

Eux aussi sont catholiques. Ils ont tous des noms bibliques version espagnol ou portuguaise (avec a ou o à la fin).

Les premières questions qu’ils nous posent sont systématiquement : notre nom et religion. De bons points gagnaient d’entrée pour nous, qui ont peut être aidé à les décontracter.

Les gens en Indonésie, sur ce que nous avons vu pour le moment, nous pas l’air timide, contrairement à nos derniers pays (Laos, Cambodge).

L’architecture et l’organisation du village sont intéressantes. On trouve des tombes au milieu du jardin commun entre les maisons par exemple.

Nous continuons la ‘route’ en descendant vers la mer jusqu’au village de Nage. Village mix avec des maisons traditionnelles et d’autres en taules. L’architecture et la forme des toit sont toujours respectées.

Nous nous arrêtons à des sources d’eau chaude. L’eau de la rivière est brûlante. Il y a une piscine avec de l’eau un peu moins chaude mais toujours trop chaude pour se baigner.

Le chemin du retour, en montée, est difficile. Ce n’est pas facile en moto et encore plus à deux. Paulina est souvent obligé de descendre. Nous croisons des mobylette taxis qui desservent les villages. Les conducteurs sont de vrai pros. Eux n’ont aucun problème.

Bajawa est en altitude avec un climat agréable la journée et frais à froid la nuit. Aprés l’eau brûlante des sources dans l’aprés midi, nous prenons une douche froide à l’hôtel. C’est mal foutu.

Nous avons trouvez les gens à Bajawa et dans les villages autour tres sympa et avec des visages ouverts, bien différent de ceux de Labuan Bajo.

Bajawa