DIARIO PAULINA
DE PERU A BOLIVIA (Puno a Copacabana)
Al momento de pasar la frontera, el policia de migracion al ver mi pasaporte me pidio mi carnet de vacunacion. Es la primera vez q me pasa en todo el viaje!!
Al momento de pasar la frontera, el policia de migracion al ver mi pasaporte me pidio mi carnet de vacunacion. Es la primera vez q me pasa en todo el viaje!!
Despues tomamos una lancha a la Isla del Sol y caminamos de la parte sur a la parte norte. Ahi conocimos a 2 chilenos y a un argentino (dos Fernandos y Denisse). Y con ellos hicimos la caminata de la Isla del Sol. En el camino se van viendo los bonitos paisajes que incluyen las montanias a los alrededores, algunas de ellas con nieve en la punta, el lago con un color azul muy intenso y le vegetacion seca q contrasta con sus colores cafes con los demas colores. La mayoria de los arboles estaban secos al parecer fue x la temporada, pero lo q si predominaban eran los cactus.
En la Isla del Sol se llegaron a establecer los incas x lo q se pueden ver parte de sus ruinas arqueologicas. En la actualidad sigue viviendo gente en la Isla y muchos de ellos han abierto sus casas para hospedar a los turistas o bien como restaurantes.
Comimos en un lugar con una vista increible y ademas la comida estuvo buena tmb aunq tuvimos q comer como los tipicos turistas, pizza y trucha.
Comimos en un lugar con una vista increible y ademas la comida estuvo buena tmb aunq tuvimos q comer como los tipicos turistas, pizza y trucha.
Ya mas tarde nos fuimos a ver el atardecer a una de las lomitas cerca del hotel, lo cual estuvo muy bonito!! Para la cena nos juntamos con los chavos y fuimos a comer y a tomar unas chelas a una restaurante muy calientito x q se sentia muchisimo frio.
Al sig dia nos levantamos temprano para ir a ver el amanecer. Despues de eso nos regresamos en lancha a Copacabana.
Todo estuvo bien en la Isla del Sol, la unica cosa q no nos gusto fue q para entrar a visitar la Isla del Sol nos cobraron y no solo una vez sino varias ya q la Isla se divide en tres partes, pues en cada parte nos cobraban y segun decian q era para el mantenimiento del sendero, pero pues la vdd no se ve q haya mucho q mantener. Otra de las cosas es q para ir a Copacabana habia q tomar una lancha y la gente local pagaba 5 bolivianos mientras q los turistas pagaban 20 bolivianos. La vdd no me parece justo x q tanto los turistas como los locales ibamos en la misma lancha, ibamos muy incomodos, basicamente tuvimos el mismo servicio y no veo x q los turistas tenemos q pagar mas!!
CARNET DE ROUTE JB
Après le côté péruvien du lac titicaca, nous passons du côté bolivien. Le poste de frontière est tranquille. Il est utilisé principalement par les touristes. Le douanier demande à voir le carnet de vaccination de Paulina. C’est la première fois que cela nous arrive. En voyant que Paulina était mexicaine, il a surement senti le besoin de faire un contrôle supplémentaire. Par ailleurs, totalement dénué de pertinence. Nous passons la soirée à Copacabana sur les rives du lac.
La Bolivie est le pays le plus pauvre d’Amérique continental (=hors Caraïbes) et à la réputation d’être le moins cher.
Ici, c’est similaire à Puno au Pérou mais en plus petit. Le premier contact avec les gens est très moyen. Pour les prix, pas cher du tout mais comparable au Pérou.
Le lendemain matin, nous partons en bateau jusqu’à la isla del sol. Le bateau nous dépose au nord de l’île, nous marchons jusqu’au sud et d’où nous repartirons en bateau demain matin à Copacabana.
Une fois sur l’ile, nous commençons avec d’autres touristes et sympathisons avec un couple de chilien et un argentin. L’île est légèrement montagneuse donc nous sommes proche des 4000 mètres ! Il faut marcher 3 heures tranquillement pour rejoindre le sud de l’île avec quelques montés. Nos compagnons souffrent un peu de l’altitude. Venant de la région de Cusco, nous n’avons pas de problème. Les paysages sont exceptionnels. Le soleil cogne dure. Les locaux ont souvent la peau brulée. La couleur du ciel est d’un bleu profond, non vu depuis le Népal. Il existe quelques ruines. Quelconque mais rendent la balade encore plus sympathique. Au fond, on peut voir les monts enneigés de la cordillera real bolivienne.
La Bolivie est le pays le plus pauvre d’Amérique continental (=hors Caraïbes) et à la réputation d’être le moins cher.
Ici, c’est similaire à Puno au Pérou mais en plus petit. Le premier contact avec les gens est très moyen. Pour les prix, pas cher du tout mais comparable au Pérou.
Le lendemain matin, nous partons en bateau jusqu’à la isla del sol. Le bateau nous dépose au nord de l’île, nous marchons jusqu’au sud et d’où nous repartirons en bateau demain matin à Copacabana.
Une fois sur l’ile, nous commençons avec d’autres touristes et sympathisons avec un couple de chilien et un argentin. L’île est légèrement montagneuse donc nous sommes proche des 4000 mètres ! Il faut marcher 3 heures tranquillement pour rejoindre le sud de l’île avec quelques montés. Nos compagnons souffrent un peu de l’altitude. Venant de la région de Cusco, nous n’avons pas de problème. Les paysages sont exceptionnels. Le soleil cogne dure. Les locaux ont souvent la peau brulée. La couleur du ciel est d’un bleu profond, non vu depuis le Népal. Il existe quelques ruines. Quelconque mais rendent la balade encore plus sympathique. Au fond, on peut voir les monts enneigés de la cordillera real bolivienne.
Les couleurs en fin de journée sont encore plus jolies. Le silence est total. Presque aucune vie : animale ou végétale.
Il existe des dizaines et des dizaines de chambres d’hôtes, la plupart non occupées. La notre vient d’être construite. La chambre et chouette avec une belle vue du lac. La douche est à l’extérieure, il fait froid dans la pièce mais l’eau est chaude avec le système électrique classique. Toutes les chambres d’hôtes font restaurant. Le menu est le même partout : truite ou pizza.
Nous nous levons tôt pour observer le lever du soleil. La lune est visible au même moment. Puis retour en bateau. Comme au Népal, les locaux assis à nos côtés sur les mêmes banquettes inconfortables payent un prix 5 fois inférieur au notre. Très désagréable. Le contact avec les gens est nul. Le touriste est quelqu’un de différent et seulement une source de revenu. C’est très pauvre sans être misérable. C’est peu dire qu’ils n’exploitent pas bien le flux constant de touriste passant par là.
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