LA GRAN LUNA DE MIEL

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Thursday, September 10, 2009

CORDILLERA REAL

DIARIO PAULINA

CAMINATA DE LA CORDILLERA REAL (duracion 3 dias)

Este trek, x lo q nos dijeron no es particularmente bonito, pero debido a q yo no me siento muy bien con la altitud, decidimos hacerlo para poder aclimatizarnos y estar en una mejor forma para hacer alpinismo en la montania Huayna Potosi q se encuentra a 6,088 msnm.

1er dia

Como es de esperarse en latinoamerica, no salimos a la hr programada. Pasamos x la guia y no estaba lista, despues habia q comprar algunas otras cosas x lo q nos demoramos aun mas. El cammino para llegar al lugar donde acampariamos estuvo horrible, hubo muchas curvas, la carretera no estaba pavimentada y x si fuera poco hacia mucho calor dentro del coche pero el chofer no queria abrir la ventanas para q no se le metiera el polvo a su coche. JB se empezo a sentir mal, quisimos tomar una pausa para tomar un poco de aire pero el mugre chofer solo se paro 2 minutos.

Finalmente llegamos al lugar donde dormiriamos. Se llama Watapampa. Es el terreno de unos campesinos y de hecho vimos a la hija quien iba a ir a buscar a una de sus llamas q se habia escapado. Llevaba en un rebozo su comida envuelta y cuando le pregunte lo q era ella me decia q era su chuno y yo que?? Y me dice: mi fiambre... en pocas palabras su taco, jejeje.
Despues fuimos a caminar para ver las lagunas las cuales fueron muy bonitas y se encuentran en las faldas de la montania Condoriri, nosotros caminamos hasta 4,200 msnm y la segunda laguna estaba en las faldas del Chiakurta a 4,700 msnm. Al regresar ya se sentia mucho frio, habia mucho viento y tratabamos de calentarnos un poco con el calor de la pequenia cocinita, pero fue imposible, asi q nos metimos a la casa de campania mientras la comida estuvo lista. Cenamos y fuimos a dormir. Esta vez fue un verdadero campamento ya q ir al banio y asearnos lo tuvimos q hacer en la naturaleza. Fuimos a dormir y hacia muchisimo frio, tratabamos de calentarnos, hast a q por fin me quede dormida, pero no dormi de corrido, fue mas bien por cachitos. Cuando nos despertamos nos dimos cuenta q el techo de la casa de campania estaba lleno de nieve!!


Uno de los campesinos se fue con nosotros para cargar nuestras cosas y el equipo de campamento; a veces camianbamos con el, pero no todo el tiempo ya q el tomo un camino mas facil x los burritos.
















2do dia

Hoy caminamos en el valle, la caminata fue muy leve. Llegamos muy temprano al refugio en el q habia mucha paja y polvo. El lugar estaba exactamente en la mitad de la nada. Ahi conocimos a una pareja de ingleses y de gringos; nos quedamos un rato platicando con ellos y nos dimos cuenta q ellos estaban haciendo un trek similar al de nosotros, pero ellos fueron x arriba de la montania para ver mejor las lagunas y tener mejor paisaje. Asi mismo el esfuerzo fisico fue mayor en su trek q en el de nosotros. Ahi fue cuando nos empezamos a enojar x q la guia x floja no nos llevo x ese camino! Q es mas bonito y nos entrenaria mejor para el alpinismo. Pero con eso de q ella era la duenia de la agencia, y ademas estaba muy sensible preferimos no reclamar.

3er dia

Hoy es el dia del paso, y la vdd nos sentimos muy bien, creo q ya estamos aclimatizados. Lo unico es q no me siento muy bien de la panza, creo q tengo un parasito, pero espero componerme para el dia del Huayna Potosi.
El paso esta a 5,200 msnm y se llama el paso de Maria Lluku q significa el corazon de Maria.
JB y yo caminamos muy bien pero la guia se cansaba mucho y descansaba a cada rato, asi q nos adelantamos. Aparte decia q estaba enferma de la garganta y la tonta estaba comiendo hielo y ademas se puso hielo en la cabeza y encima su sombrero, q segun ella asi se iba a componer!!! pero bueno creo q al final de dia estaba muy enferma ( a quien se le ocurre, no?).

Antes de llegar al campo base del Huayna, comimos enfrente de una laguna, estaba bonito el lugar pero se sentia mucho frio y viento.











CARNET DE ROUTE JB

Afin d’être le plus acclimaté possible et de mettre toutes les chances de notre côté pour l’ascension du Huayna Potosi, nous faisons un trek de 3 jours au pied de la cordillera real, plus ou moins en faisant le tour du Huayna Potosi.

C’est en plus l’occasion de faire un peu de marche et de profiter des paysages.

Un guide n’est vraiment nécessaire. Il faut du matériel de camping que nous n’avons pas. Au final, ca ne coute pas beaucoup plus cher de passer par une agence qui fournit tout (même un guide) que de louer le matériel et acheter la nourriture. C’est l’occasion de discuter longuement avec un bolivien de la Bolivie, dans un pays où nous sommes depuis peu.

Cela va durer trois jours sous la tente et l’arrivé est au 1er camp de base pour le Huyana Potosi c'est-à-dire le départ de pour son ascension.

Les paysages sont super avec de très belles couleurs : herbes brulées par le soleil, lacs avec dans le fond les sommets enneigés.

Nous croisons tout un tas de lamas. Depuis les temps précolombiens, les gens ont domestiqués le lama, l’alpaca (réputé pour sa laine) qui coexistent avec deux formes sauvages le guanaco et la vigogne (dont le prix de la laine est astronomique).Tous appartiennent à la famille des auchenidés (camélidés andins), proche du chameau ou dromadaire.
Camper ici est différent de camper en Polynésie Française. Il fait moins 20°C la nuit et très froid le soir et le matin jusqu’à ce que le soleil fasse son apparition. Quand il y a du vent et pas de soleil, c’est difficile. La première nuit, les parois de la tente était gelées … à l’intérieur.


Il existait un refuge à l’endroit où nous avons dormis la deuxième nuit. Nous en avons profité. C’était rustique mais il fait plus chaud et c’est à l’abri du vent. Nous passons la soirée dans le refuge avec un couple d’anglais et d’états uniens.

Lors du trek, l’altitude oscille entre 4000 et 4700 mètres.

Le dernier jour, il fallait passer un petit passe. Une belle montée mais nous avons eu aucun problème, ni les autres touristes avec nous. Par contre, le guide a souffert et a même vomis plusieurs fois en chemin…

Au final, le guide a été inutile car le chemin est extrêmement simple. C’était la femme du gérant de l’agence. Elle n’est pas du tout sportive, plus toute jeune mais aime bien faire des randonnées et se pense formidable. Elle était très susceptible. Dés que l’on posé une question sur son pays, elle réagissait comme si nous avions fait une remarque désagréable. A l’écouter, tout est formidable en Bolivie.


Elle marchait lentement et devait faire des pauses fréquentes. Nous avons l’habitude de marcher mais nous ne marchons pas plus vite et nous fatiguons autant que les touristes rencontrés sur ce trek.

L’avantage est que nous ne nous sommes pas fatigués avant l’ascension du sommet. L’inconvénient est que nous avons raté quelques beaux paysages un peu plus haut. Cela nous aurait aussi permit de nous « faire » un peu plus les jambes. A cause de ces limites physiques, nous avons du resté aux pieds des montagnes dans la plaine.

Il faut aussi avouer qu’elle cuisinait très bien. Nous pensions manger très mal et ce fut l’inverse.

Deux mules portaient le matériel de camping et les vivres. Nous avions le minimum dans nos sacs de jour.

Pour finir le trek dans la cordillera real nous arrivons en début d’après-midi au camp de base à 4700 m. Notre guide est dans un sale état. Nous avons marché très peu aujourd’hui et souhaitons aller jusqu’au camp haut à 5200 m pour s’entrainer un peu. Il est recommandé de marcher jusqu’à une altitude élevée puis de dormir à une altitude moins élevée.

Il nous faudra environ une heure pour arriver au camp haut. Nous discutons avec des touristes qui partiront cette nuit pour le sommet et des guides dont celui de notre agence, felix surnommé le chat, avec qui nous ferons l’ascension et qui nous rejoindra demain pour l’entrainement.

Au retour, les nuages de fin de journée rendent la visibilité difficile. Nous savons plus ou moins où nous sommes mais ne retrouvons pas le chemin. La nuit va bientôt tomber ce qui est inquiétant. Nous suivons un autre chemin qui nous amène à une lagune, continuons en suivant la lagune d’où nous retrouvons la route et le refuge proche.

Le refuge est confortable. Salle à manger commune au rez-de-chaussée et dortoir avec des matelas à l’étage.









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