BILAN CHILE

DIARIO PAULINA

CHILE EN BREVE

Espero escribir mas adelante acerca del norte de Chile ya q me quede con las ganas de ir al desierto de Atacama y observar los paisajes lunares q tanto se ven en los libros de turismo, mientras tanto, dare mi opinion gral de Chile.

La gente me parecio amable, pero la vdd nada excepcional, creo q los mexicanos somos mas buena onda y mas hospitalarios q los chilenos. Tal vez son asi x le clima ya q es mas frio (estando en le hemisferio sur) y ademas hubo muchos imigrantes europeos asi q la sangre fria prevalecio sobre la sangre caliente latina, jajaja... (broma).

Le pais me parecio bastante desarrollado, esta entre un pais en desarrollo y desarrollado(como entre Europa y Mexico, digamos). Me sentia muy segura caminando x las calles de Santiago. Le ctro historico no tiene mucho q ofrecer, en gral como cd es muy peq y pocas cosas x hacer y visitar, x lo q creo q le atractivo de Chile esta en sus provincias.
Por otro lado en los suburbios de Santiago, los cuales se estan desarrollando mucho, la gente vive en coche, en centros comerciales de lujo y todo lo q implica la vida de la gente pudiente.

La comida tradicional chilena es escasa en comparacion con otros paises. Lo unico q es mas excepcional son frutas q yo no conocia: la chirimoya (al parecer es de la misma familia de la guanabana), lucuma (no se parece a nada) y papaya amarilla (es como una papaya mexicana pero miniatura, del tamanio de un mamey y es muy dulce, es buena... no se si le contenido en fibra sea igual q la mexicana).

CARNET DE ROUTE JB

Peu de commentaires à faire, nous n’avons presque rien vu. L’accent espagnol est le plus vilain que je connaisse. Il peut être difficile à comprendre même pour Paulina. Il existe plus de mots et expressions chiliens que ce que nous pensions. Je n’avais pas lors de ma première visite dans ce pays la même sensibilité en espagnol.

Mon souvenir était que le Chili, et les gens, était à mi chemin entre le Peru et l’Europe. A priori, confirmé. Les gens sont froids et assez tristes. Ce qui n’empêche pas que beaucoup sont très sympas.

C’est un pays “développé pour un pays en développement” et naturellement: cher pour un pays en développement. Cela reste nettement moins cher qu’en Europe pour pas mal de produit, notamment fruits et légumes. Peu de fruits exotiques. Quand même 3 fruits qui n’existent pas au Mexique: la lucuma, la chirimoya et une papaye jaune qui n’a rien d’une papaye.

Il semblerait que le Chili est récemment perdu une guerre avec le Peru pour l’appellation Pisco. C’est l’alcool national chilien mais c’est péruvien donc normal. Les bouteilles indiquent de plus en plus un nom de marque et alcool à base de raisin au lieu de Pisco en gros au milieu de l’étiquette.

Au niveau gastronomique, c’est un peu la même histoire que leur alcool national: tout vient du Peru, plus les empanadas qui viennent d’Argentine.

Les chiliens m’ont donné l’impression d’être plus fiers d’être chilien qu’avant. Plus l’économie croit et les gens “riches”, plus ils semblent perdre de leurs complexes.

Lors de la dernier moitié du dernier siècle, les argentins (plus beau, plus grand et plus riche que les chiliens) venaient séduire les jolies chiliennes. L’histoire la plus connue est le mariage d’un président argentin (Menem) avec la seule Miss Monde chilienne de l’histoire.

A l’inverse, les chiliens nous ont dit que suite à la crise de 2001, les argentins étaient devenu plus humbles. Nous verrons cela à la fin de notre voyage.

Le Chili est un pays très ami des USA et très libéral. Cela n’empêche pas que la politique a été économie de marché et privatisation à tout va. On sent que l’économie est quelque chose d’important pour les chiliens. Ces derniers sont par ailleurs très conservateurs.

Le cuivre représente environ un quart du revenu du pays. Il est produit dans le nord du Chili, zone conquit lors de la guerre du Pacifique avec la Bolivie (et aussi Peru) qui était par dessus le marché son seul accès à la mer. On savait qu il y avait du nitrate mais les richesses en cuivre de la région étaient inconnu au moment de la guerre. Devinez quoi? Bizarrement, les boliviens détestent les chiliens.

Pour une grande ville d’Amérique Latine, Santiago est assez tranquille. Les gens ne semblent pas avoir trop de problème avec l’insécurité des autres grandes villes du continent. La police n’est pas corrompu. Offrir de l’argent à un policier est la pire insulte que l’on puisse lui faire. Ce serait souligner le fait qu’il est pauvre.

Les gens sont relativement grand pour un pays andins et peu ont la peau mate. Car il y avait peu d’indigènes à l’arrivée des espagnols dans cette région. De plus, certains d’entre eux, comme les mapuches, ont la peau assez clair.