Teniamos q volar hacia otro de los Tuamutus: Rangiroa. La sra de la pension nos dio un aventon al aeropuerto no sin antes darnos unos collares de conchitas q tienen un significado especial en la Polinesia Francesa: “para q volvamos pronto”.
Llegamos a Rangiroa y sin saber donde dormiriamos pedimos un aventon a la sra de la pension al lado del campamento. Llegando ahi, nos dijeron q nos dejaban acampar pero sin acceso a la regadera ni alos banios, no le encontramos chiste, asi q nos dieron otro aventon al aeropuerto.
Ya estando ahi llamamos a otra pension donde le campamento es permitido. La sra q nos recogio fue buena onda, nos asignaron un lugar.
RANGIROA, LA ISLA DEL MAL CLIMA (o mala suerte??)
Desde q llegamos a Rangiroa estaba muy nublado y habia mucho viento. Preguntamos a varias personas si esto era normal, y nos dijeron q no, no es comun, tmb nos dijeron q le sig dia iba a hacer calor e iba a estar soleado, cosa q no sucedio.
Ya con la casa de campania instalada nos quedamos en la palapa a ver la vista. Comenzo a llover muy fuerte y le viento estaba fuertisimo. Cuando fui q checar la casa de campania, oh!! Sorpresa!! Resulta q habia un charco como de 5 cm y todas las cosas se estaban mojando, yo estaba traumada!! Tuvimos q mover la casa y todas nuestras cosas abajo de la palapa y asi se protegio un poco mejor.
La marea estaba alta, se escuchaba le romper de las olas en una barrera de concreto q construyen para q le agua no suba hasta las inmediaciones de la pension. Tmb se escuchaba un viento tremendo y como llovia! No pude dormir muy bien, tenia miedo de q a pesar de q estabamos abajo de la palapa nos mojaramos. Ademas de eso le piso de la palapa no era plano mas bien estaba lleno de coral muerto, le cual se veia bonito pero para dormir no fue muy comodo.
SEGUNDO DIA EN RANGIROA
Fuimos a caminar al pas (le canal x donde le oceano alimenta a la laguna) x q supuestamente ahi aparecen los delfines, y hasta bailan. Bueno eso se quedo solo en leyenda x q solo vimos un delfin a pesar de q nos quedamos ahi un buen rato.
JB intento hacer snorkel, pero le dijeron q no tenia q ir muy profundo y ademas tenia q tener cuidado con le tiburon gris, le cual puede comer a los seres humanos, mas aun x q sus aletas eran color naranja muy llamativo. Asi q hizo le snorkel pero muy cerca del pie de la laguna.
Hoy tmb varias personas nos dieron un aventon. Es muy comun q en las islas la gente de aventones a los turistas ya q le medio de transporte es nulo, es decir, no hay transporte publico, la unica manera de moverse esrentando un coche lo cual es muy costoso o bien rentando bicicletas.
DIA DE BUCEO EN RANGIROA
Estaba un poco nerviosa, siempre me siento asi, si he pasado tiempo sin bucear... mmmm bueno hasta eso no fue tanto ya q bucee en Australia. En fin, partimos en una lancha, la cual se descompuso a la mitad e la laguna ya casi por llegar al pass, asi q otra lancha vino a recogernos y llegamos al punto de partida.
Debido a q estaba un poco nerviosa me acabe le aire muy rapido y le instructor me tuvo q dar de su aire x los ultimos minutos. Sin embargo me di cuanta q pude sacar le agua de mi mascara sin tener q subir a la supericie, cosa q me daba mucho miedo hacer en otras ocasiones. En cuanto a la vida marina, vimos mucho coral de color cafe y morado y muchos peces hermosos y coloridos. Se supone q en le pass se ven muchos peces grandes, pero no tuve buena suerte, ya q solo vi un tiburon de lejor, una tortuga y 3 peces napoleon, estos son grandes y coloridos, pero tienen la cara fea, asi q no son mis favoritos.
Por la tarde fui a bucear otra vez, quise probar suerte y si q me fue bien. Vimos a una mantarraya del tamanio de un coche!! Bueno de un Atos o algo asi, pero realmente estaba muy grande. Estabamos todos buceando y de repente aparecio, nado cerca del arrecife y muy cerca de nosotros. La parte de abajo era blanca y tenia unos cuernos enormes, la parte de arriba era gris oxfors, fue realmente hermosa, todos salimos super felices de ahi!!
CARNET DE ROUTE JB
Lors de l’escale à Rangiroa en chemin à tikehau, le climat était mauvais sur cet atoll. Notre avion partait de Tikehau en fin de matinée et il faisait gris. Nous avons eu de la chance car nous avons eu un temps magnifique pour les deux journées complètes à Tikehau.
Arrivé à rangiroa sous la pluie. Les distances sont plus grandes ici. Les gens vivent sur deux grands motus côte à côte. Nous restons sur le plus “développé”. Nous faisons du stop jusqu’à une pension qui reçoit des campeurs. Ils reçoivent en effet des campeurs mais il n’y a plus d’accès à salle de bain, ni toilette, ni cuisine. Nous allons dans une autre pension pour camper plus prés du centre.
Nous déjeunons et profitons un peu de la vue. Toutes les pensions donnent sur le lagon. Puis c’est le début de la pluie qui ne s’arrêtera pas jusqu’au lendemain. Nous avons du déplacer la tente sous un abri car c’est une tente légère et peu chère mais qui prend l’eau. Le sol est couvert de coraux mort.
Perles
Le lendemain, pluie et nuageux toute la journée. Il n’y a pas grand chose à faire dans les tuamotus avec un temps comme cela. Nous visitons une ferme perlière. C’est intéressant. L’industrie est en pleine crise. Les prix ont chuté. Les raisons sont une mauvaise organisation du secteur, surproduction et crise économique mondiale. En plus, beaucoup produisent des perles de petites tailles alors que les clients veulent des perles de grosses tailles... La période de culture est de 2 à 3 ans. Il existe en Polynésie française, un salaire minimum de plus de 1000 euros par mois. Et comme en plus presque tout coûte cher ici, les gens vendent à perte. Apparemment les perles noires sont principalement produite dans les tuamotus et gambier mais également une ou deux autres îles dans le pacifique et au Mexique (?!). Elles sont connues par le nom de perles noires de Tahiti alors qu’elles ne proviennent pas de cette île et qu’elles peuvent être d’autres couleurs.
Sans l’intervention de l’homme (greffe), la probabilité d’obtenir une perle de qualité est de 1 sur plusieurs centaines de millier. Cette rareté contribuait au prix élevé des perles. Depuis le boom de la production perlière ici dans les années 70-80, cette industrie était une des deux grandes sources de revenus et d’emplois avec le tourisme (on pourrait rajouter les subventions provenant des impôts de métropole).
La passe
Dans la passe qui se trouve entre les deux motus habités et lorsqu’il y a des vagues, on peut observer les dauphins s’amuser dans les vagues. Manque de chance, pas de vagues donc pas de dauphins aujourd’hui.
Plongée
Le lendemain, il fait toujours moche. Paulina va faire deux sessions de plongée. Cette même passe est un des sites de plongé les plus connus au monde: la passe de Tiputa.
J’accompagne Paulina sur le bateau pour la sortie du matin. J’en profite pour faire du snorkelling. C’est chouette. Evidemment plein de requins, beaucoup de petits poissons de couleur, souvent en groupe très nombreux, un gros thon, napoléon... Plus de variété de poissons qu’à Flores en Indonésie ou sur la grande barrière de corail en Australie.
Paulina a adoré la plongée un peu la même chose qu’en snorkelling plus des paysages plus variés et jolis et dans la session de l’après midi une expérience de prés avec une raie manta. Une énorme raie, plus grande qu’une smart.
Comme toujours pour l’observation des animaux ou des poissons, il y a une part de chance mais toujours des choses à voir. L’idéale serait de traverser la passe avec le courant entrant. L’eau étant plus claire et avec plus de poisson.
Le courant était sortant. Il existe des marées mais en réalité les courants sont imprévisibles au niveau du passe. Cela fonctionne un peu comme les vases communiquant. Le courant pouvant être entrant (ou sortant) pendant plusieurs jours indépendamment des marrées de 6 heures.
Les gens de la pension sont encore plus antipathiques qu’à Tikehau. Décidément.
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