DIARIO PAULINA
Llegamos a Nauta a las 5:10 am. Tomamos un rickshaw a la estacion de taxis y me dio mucho gusto q al irnos me diera un folleto de cristianismo. De Nauta a Iquitos hicimos 1 hr 30 min, lo cual estuvo bien x q en la motonave nos hubiera tomado unas 9 hrs mas.
Llegando a Iquitos JB fue a buscar un hotel mientras yo me quede esperandolo enfrente de una panaderia y presencie algo q hacia mucho no habia visto, un par de chavos pepenadores q buscaban entre la basura algo para comer e incluso comian comida medio podrida de la basura, me dieron mucha lastima. Finalmente llegamos al hotel en donde descansamos para mas tarde salir a comer un menu muy bueno:
Papas con una salsa verde (q no se de q esta hecha)
Juanes rellenos de yuca y carne ( es una especia de tamal oaxaquenio en forma de bola)
Y agua de cocuna (q sabe como a agua de pinia colada pero medio desabrida, no esta tan mal)
Despues fuimos a cambiar dinero, pero traiamos mucho, e incluso un senior en el banco se nos quedo viendo medio feo, yo la vdd tenia algo de miedo q nos asaltara, pero es q se sabe q esas cosas pasan.
Ya habiamos contratado el tour de la selva y fuimos a comprar lo q nos hacia falta a la parte comercial de Iquitos en donde no habia ni un turista, pero aunq habia gente fea no se veia tan mal el lugar.
CARNET DE ROUTE JB
On peut s’y rendre en bateau donc ou en avion, aucun accès par la terre. Dans l’ensemble, c’est affreux. Quelques bâtiments datant du boom du caoutchouc sont de belle architecture avec des azuelos (carrelages peints). Un boulevard type front de mer (de rivière dans ce cas) offre une belle vue de forêts et rivières. Le quartier de belem est intéressant même si misérable avec un marché et des maisons flottantes qui ne flottaient pas car le niveau de l’eau est bas à cette époque. On trouve de tout sur le marché: fruits, viandes, multitude de poissons, tortues, limasses,... Nous avons bien aimé (voir) la soupe cuite dans une carapace de tortue, par ailleurs animal protégé.
Le trafic est incessant. Peu de voitures, beaucoup de bus et des milliers de moto taxis ou rickshaws à l’indienne. Il fait chaud et humide. Quand il pleut, ça rigole pas mais elles ne durent pas très longtemps. Tout cela crée une atmosphère particulière. J’étais déjà venu ici en 2001: si en 8 ans quelque chose à changer dans la ville, cela ne saute pas au yeux.
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